WATCHMEN
Réputé inadaptable le gros pavé d’Alan Moore et Dave Gibbons est passé ces 20 dernières années entre les mains de Terry Gilliam le poissard, dans celles de l’épileptique Paul Greengrass ainsi que dans celles du volatile Daren Aronofsky sans qu’aucun d’entre eux ne parviennent à aboutir à un quelconque résultat. Pendant ce temps là d’autres loustics se chargèrent d’adapter d’autres livres à l’écran et les films issus de l’univers de Moore se mirent à squatter les salles obscures avec une régularité horlogère que n’aurait pas renié Osterman père. Résumons pour les étourdis : 2001 From Hell (des frères Hugues), 2003 La ligue des gentleman extraordinaires (de S. Norrington), 2005 Constantine (de F. Lawrence) et en 2006 les frères Wachowski produisent V pour Vendetta réalisé par J. Mc Teigue. C'est un film tous les deux ans mais c'est surtout un sans faute indéniable dans la médiocrité absolue, contrastant sans vergogne avec la qualité de l’œuvre pillée !
Réputé inadaptable Watchmen l’était, enfin il l’était jusqu’à ce que l’un des tâcheron les plus détestable de notre époque s’en empare et que sous le poids de la propagande commerciale ce kidnapping devienne un événement. « Par le réalisateur visionnaire de 300 » clame sans honte l’affiche hideusement photoshopée de cette sombre forfaiture. Snyder catapulté réalisateur visionnaire après la tape à l’œil et sans intérêt Armée des morts et la fresque foireuse comme un pet aux fibres que fut 300 c’est déjà, avant toute chose, une sacrée plaisanterie. Au moins, on ne pourra pas dire qu’on n'était pas prévenu et c'est motivé par une curiosité sacrément malsaine qu'on se traina un soir dans une salle obscure pour contempler ce Watchmen qui déchaîne les passions et fait s’entredéchirer les geeks jusqu’au prochain nonosse qui leur sera vendu. Nous nous sommes donc tartiné pendant 2h40 de la bêtise, de la vulgarité et du cynisme d’un des réalisateurs les plus néfastes et les plus cons de sa génération : Zack Snyder !
Alors qu’en est-il de son nouvel opus ? Je dois avouer que c’est quand même un peu moins mauvais, un peu moins con et un peu moins moche que 300 qui avait placé la barre assez haute dans la nullité et la misère visuelle la plus totale. Snyder adaptant la BD de Miller le gros réac, c’était quand même un chouia pompier et ça faisait un peu ton sur ton. Ce coup ci, Snyder a un atout de poids : une histoire forte et complexe à adapter, en tout cas un peu plus complexe et un peu plus maline que la quête de ses 300 têtards bodybuildés à l’aérographe éructant des wahou gutturaux devant des monstres en CGI. Bon, il a ce coup ci l’avantage de ne pas avoir eu besoin de se poser de questions, encore moins de questions sur la mise en scène, ayant le découpage dynamique de l’œuvre de Gibbons et Moore comme béquille, voir même comme fauteuil roulant tellement Snyder en gros fainéant se laisser trimbaler paresseusement par le livre. Pourquoi se faire chier alors que le travail semble déjà tout prémâché et qu’on peut ainsi montrer sa mine réjouie et ses casquettes de la NRA sur les plateaux de télé du monde entier en clamant son adoubement au livre original ?
C’est pitoyable, et misérables sont ceux qui mangent de ce pain là.
Dans cette démarche de reconstitution animée des cases de Gibbons, certaines idées visuelles semblent fonctionner, c’est indéniable, d’autres beaucoup moins et elles sautent aux yeux. Le casting est dans le même esprit et pour un ou deux bien choisis (Rorschach et le Comédien par exemple) d’autres sont au mieux à côté de la plaque (le lumineux Ozymandias laisse la place à un sous Batman digne d’un Schumacher des années 80 donnant une touche grotesque et fofolle à un personnage pourtant voulu comme sérieux et intriguant) au pire totalement hors sujets (le Spectre Soyeux est censée être une femme d’une quarantaine d’années bien tassées qui regarde son passé avec amertume, elles est donc jouée par une gloussante suédoise de 30 balais).
Au niveau de la mise en scène, c’est la médiocrité crasse, le manque total d’investissement intellectuel et l’absence vertigineuse de point de vue, tout ça rendant inévitablement le film inintéressant et surtout jamais intriguant. Ce qu’on voit à l'écran n’est acceptable que lorsque la réalisation se borne à n’être que bêtement illustrative. C’est paradoxalement lorsque Snyder est le plus bête qu’il est le moins mauvais, car lorsqu’il commence à réfléchir et à nous proposer un cinéma plus personnel, lorsque le « réalisateur visionnaire » a ses fameuses visions, on sombre dans un ridicule achevé, celui qui fait triper les fans décervelés du réalisateur, hypnotisés par trois pauvres astuces visuelles surannées. On a déjà beaucoup glosé sur la scène de cul ou sur les ralentis (patte ultime du maestro) censés renforcer le sentiment de violence alors qu’ils la désamorcent systématiquement en faisant ressembler n’importe quelle baston en pub pour shampoing (les chorégraphies du Spectre Soyeux ont étées particulièrement travaillées au niveau capillaire, surement parce qu'elle le vaut bien !).
En gros, parions que si on refilait le pdf de la BD et une imprimante couleur à Snyder, on se retrouverait avec un truc imprimé de travers avec des prospectus publicitaires coincés entre les pages. Ce type est un danger pour le cinéma, pour la bande dessinée et pour la culture en général. Snyder, Pitof et Gens sont sur un bateau, le bateau coule qui est sauvé ?
Le cinéma de genre…
Watchmen le livre, outre les différentes mises en abîme qu’il propose, est une bande dessinée sous influences, notamment cinématographiques (This island earth entre autres). Snyder a compris qu’il aurait tout à y gagner à faire de même, mais si les citations choisies par Moore approfondissent le propos, celles de Snyder restent à un niveau purement ludique, bêtement gratuites. Des associations d’idées sans aucun sens.
Parce que les rares fois où il s’arrête de suivre bêtement le story board de Gibbons, Snyder le visionnaire reproduit ce qu’il a déjà vu et aimé et qui semble rentrer dans son film, sans se poser la question du sens que ça donne. Là aussi, ça semble avoir été fait au petit bonheur la chance et là encore le résultat est plus qu’inégal. Citant à chaque fois que l’occasion lui est donné ses films préférés Snyder régurgite avec une finesse de Spartiate Blade Runner et Taxi Driver pour rendre plus cool Rorschach se trimballant sur le pavé mouillé d’une grande ville déshumanisée. On parle de menace nucléaire ? Il cite évidemment Dr Folamour au décor et au cadre prêt produisant une véritable photocopie des plans du film de Kubrick. Mad Max 2 (2 scènes en boucle) et 1984 sur le mur d’écran d’Ozymandia. Amusant tout ça, mais tellement vain. On va au Vietnam tuer d’immondes cocos lors d’une scène d’une hilarante ringardise ? Et c’est bien sûr la Chevauchée des Walkyries qu’on nous sert, pourquoi diable aller plus loin ? Aucun sens à chercher à part celui de la citation populaire évidente à laquelle n’importe quel spectateur pourra s’accrocher, ayant l’impression de saisir toutes les finesses d’un film qu’on lui présente comme complexe et original. Snyder fait feu de tout bois, le propos de Moore devient imbécile, son film séduit l’égo du spectateur qui reconnaîtra la référence et il réduit Apocalypse Now à un unique gimmick privant le film de Coppola de toute signification et le réduisant à une vulgaire astuce. Snyder c’est une telle catastrophe que je suis sûr qu’un jour Roland Emmerich tournera un biopic sur lui !
Snyder est un ambitieux et ça ne lui suffit pas de faire du cinéma de cons, il faut qu’il réduise ce qu’il adapte et ce qu’il cite à son niveau de têtard ahuri. Et pour ce faire il va flatter l’égo du spectateur en le caressant dans le sens du poil et en lui servant des idées aussi démagogiques qu’évidentes pour le prendre par la main et lui susurrer aux oreilles avec toute la finesse offerte par le thx ultraboombass « regarde comme tu es intelligent tu as reconnu ici Andy Warhol, là Kennedy etc etc etc… »
Au final ces gadgets visuels distraient l’assistance qui pendant qu’elle s’amuse à reconnaître telle ou telle référence n’a pas le temps de penser au sens de ce qu’elle voit. Le traitement de la crise nucléaire a beau être réglé en deux scènes complètement pourries, sans enjeu et sans tension dramatique, il reste pourtant l’amusante représentation iconique. De l’esbroufe, ni plus ni moins. De la merde.
Pour être honnête et comme je le disais plus haut certains choix semblent judicieux et même un me semble carrément malin. Une sorte de joyaux dans une cuvette de merde, un peu comme si on regardait son chien se soulager sur le trottoir et qu’on distinguait, d’abord intrigué puis carrément ahuri, un objet précieux dans les selles de l’animal qui au milieu de sa pâté indigeste aurait avalé un quelconque trésor. On se penche et on hésite car on est réticent à mettre les mains dans la merde pour dégager la pépite, surtout en public. Tant pis, j’y fourre mes mains et c’est avec une certaine honte que je me sens obligé de dire que le choix de la musique de Koyaanisqatsi, le chef œuvre contemplatif de G. Reggio, est une idée fort intéressante. L’observation décalée et cynique du monde des humains de ce film semble bien correspondre au caractère du Doc Manhattan au point même que la phrase du livre « Serait-ce embelli avec un pipeline ? » qui est reprise dans le film propose, par l’utilisation de la musique de Glass, une étonnante correspondance avec le film de Reggio...
Pour le reste, le renoncement intellectuel est total. L’exemple le plus flagrant est le traitement de Rorschach. Si Snyder filme consciencieusement (à défaut de fidélité) le jeune Walter Kovacks mordant son agresseur à la joue, il oublie que les taches du test de rorschach sont un symbole et que dans la tache il voit sa mère se prostituant avec un client, que le fruit mûr éclaté sur sa face dessine son masque et que sa naissance en tant que super-héros se retrouve dans la tache du crâne éclaté d’un chien. Sans forcément demander à ce que Snyder respecte la structure symétrique du récit, passer tout ça sous silence c’est juste comme s’il pissait directement sur ce qui faisait l’essence même du récit polysémique (ce mot que personne ne connaissait il y a 2 mois est devenu très à la mode) de Moore pour n’en garder que les oripeaux les plus colorés.
Le refus de toute ambiguïté et de toute complexité ainsi que l’impitoyable formatage hollywoodien transforment tranquillement le propos subversif de Moore en quelque chose d’insidieusement détestable. Du renoncement on passe ainsi au détournement pur et simple. Les super héros de Moore sont d’anciens vigilantes réactionnaires, travaillant pour une cause ultra patriote et luttant contre le libéralisme des sixties. En 1985 ils ont leur vie derrière eux et le récit jette un regard désabusé sur leur œuvre, le rêve américain et leur culture. Snyder présente lui ses héros comme de simples portes mentaux avec des costumes bien lisses, et qui n’existent qu’autour d’une ou deux caractéristiques les associant au nouveau courant de ces super héros dits post modernes . Le hibou est une sorte d’ectoplasme impuissant, le Spectre n’est qu’une dinde souriante qui n’existera qu’au travers d’une scène où la véritable identité de son géniteur sera évoquée. Le fait que ces personnages aient flirté avec l’extrême droite, qu’ils soient soutenus par la presse populiste et qu’ils soient détestés du peuple passe tranquillement à l’as. Et Snyder ose nous dire qu’il est là pour respecter le point de vue de l’auteur… Que seul le Comédien endosse le rôle du méchant (« c’était presque un nazi ») et que ses compagnons soient les héros confortables d’un film résolument grand public ne trouble personne et surtout pas Snyder qui doit trouver ça cool, vu qu’il est pote avec des fachos comme Miller ou Milius… Que le Hibou laisse Rorschach torturer un homme entérine juste le dicton qui veut que la fin justifie les moyens. Utilisé dans le film uniquement comme un mécanisme pour faire progresser l'histoire ce genre de détail créé juste un véritable contresens avec les intentions de l'auteur. Snyder encore une fois a du trouver ça cool...
De quoi parle le film alors ?
A l’instar des personnages qui n’existent que par leurs costumes, l’histoire n’existe que par son intrigue. Le sujet se rétrécie donc à la simple résolution de l’énigme : Qui donc tue les masques ? A la fin on le sait et hop le film est fini. Rideau. On tire la chasse.
Et là où le livre proposait une fin audacieuse, le besoin de resserrer un matériau trop riche conduit Snyder et ses scénaristes à nous raconter n’importe quoi. Plutôt que de craindre une menace extra terrestre, Snyder préfère donc que l’humanité soit solidaire dans sa crainte de Dieu, surtout si celui-ci est américain (et même si c’est une supercherie, et même si il ressemble à un schtroumpf géant qui se balade la bite à l’air). A un tel niveau de trahison, l’équipe du film mérite le même mur que celui où l’équipe de I am Legend aurait du être exécutés.
Watchmen ainsi dépouillé n’est plus qu’un squelette sur lequel la machine hollywoodienne enrobe à coups de millions de dollars un spectacle calibré qui fera illusion en remplissant le cahier des charges habituel : des combats violents, quelques effusions gores, un peu de sexe et pour la caution rebelle bad ass un ou deux pseudos tabous qu’on transgresse (la femme enceinte abattue, le nu frontal) oubliant bien vite que des films allant bien plus loin ont toujours existé et qu’on a là quelque chose d’aussi authentique qu’un Mac Do au pain complet.
Au final la plus grosse arnaque n’est pas le plan d’Ozymandias mais plutôt celui de Snyder, de sa production et des décideurs qui financent ce genre de merde. On a lu un peu partout les plaintes des uns et des autres accusant Snyder de n’avoir rien adapté et d’avoir fait au livre ce qu’on faisait autrefois aux films : une sorte de novellisation à l’envers. Ce n’est pas si vrai que ça. Il y a eu un véritable travail d’adaptation, parce qu’au final ce qui est important ce n’est pas adapter le discours de Moore, ou d’appliquer au cinéma ce qu’il disait sur la BD, l’important c’est d’en faire un machin manufacturable. Un produit lisse, un outil commercial permettant d’engranger des profits là où auparavant il n’y avait rien en profitant des fondations qu’offre une œuvre originale pour faire jaillir une nouvelle franchise. Au final ça ne reste qu'un alibi pour que les gens restent assis à ingurgiter du pop-corn par seaux entiers…
C’est la même démarche que pour le remake honteux de Zombie dont il n’avait retenu que l’équation Zombie = morts vivants + supermarché. Sans s’intéresser à ce qui faisait la moelle du film de Romero.
Il est évident que celui qui n’a pas lu le livre verra dans le film un blockbuster ayant l'apparence d'être moins débile qu’à l’accoutumée, mais ce n’est pas que c’est mieux, c’est surtout que le reste du temps c’est désespérant et qu’il n’y a même pas une béquille solide à tordre. De la culture prémachée destinée à un public qui avale les films au rythme de ses cocas.
On en vient à se demander si ces bâtards prennent leur pied à massacrer les chefs d’œuvres de la contre culture des 70’s ou des 80’s pour les forcer à rentrer dans leurs schémas idéologiques réactionnaires ou si c’est uniquement dans un but de rentabilité immédiate qu’on standardise des œuvres originales en savonnettes ?
Pour moi la conclusion de tout ça sera toute simple : Pour 2011 notre réalisateur visionnaire prépare une suite à 300 qui sera basée sur un nouveau projet de Miller… 300 2. Quelle misère, m’enfin tant qu’il laisse tranquille ce qui existe déjà…
70 commentaires:
merci. vraiment vraiment. merci infiniment.
en entrant dans la salle, je disais à un pote pour déconner que, connaissant plus ou moins les astuces snyderiennes, j'étais persuadé qu'il allait traduire l'intensité dramatique du dernier chapitre avec une musique d'église et quelques ralentis. mais franchement, je pensais pas qu'il allait finalement le faire.
sans déconner le peu de bonnes idées que snyder balance, il ne va même pas jusqu'au bout. c'est con pour un "metteur en scène" qui assume son côté ultra fidèle case par case mais qui se permet quelques libertés de temps en temps. et les idées qu'il aurait pu avoir sur certaines scènes de la bédé, qu'il aurait pu utiliser à son avantage (je pense surtout à toutes les scènes du black freighter qui constituaient je pense une bonne base pour avoir quelque chose de frais dans cette adaptation "fidèle"), il passe carrément à côté et oublie même d'y penser.
mais le problème c'est que le mec crie à qui veut l'entendre que son statut de réal ne lui permet pas d'avoir son mot à dire et qu'il laisse parler les auteurs qui ont écrit ceux sur quoi il se base pour réaliser son film, sans même penser une seconde qu'avec un peu de finesse il aurait pu avoir un propos légèrement nouveau qui serait venu se juxtaposer au propos de Moore. il l'avait déjà dit à l'époque de 300, et si je me souviens bien, il le répète dans le dernier mad movies, à un rédacteur qui ne fait rien d'autre que lui pomper le dard pendant toute l'interview, les deux hommes se masturbant mutuellement sur le fait d'être d'accord que l'aube rouge est le meilleur film de Milius..
"oh oui ooooh oui mon zackou putain l'aube rouge putaaaaiiin ouais t'es trop un bon meeeec pourquoi t'adapte pas conan 3 putaiiin
-bah ouais putain moi aussi ça m'étonne qu'ils m'aient pas proposé pourtant tout le monde le voit que j'suis un génie visionnaire oh putain ouais t'as vu comme j'suis un génie ouais. c'est cool."
sans déconner, le seul truc à peu près intelligent qui ai pu sortir de ce visionnaire de mes deux, c'est quand il a dit que si son film était considéré comme une bande annonce de 2h40 pour la bédé de Moore, ce serait sa plus belle récompense. ouais, mais plusieurs millions de dollars, ça fait cher la bande annonce..
ah ben on est sur la même longueur d'onde... Vis à vis de l'interview dans le Mad de Septembre, j'ai justement écrit un post scriptum à cette note qui y est consacrée...
Je la publierai demain dans les commentaires...
Je viens de lire ta note écrite en février et je me rends compte que t'as fait quasiment la même que moi sans l'avoir vu eh eh !
je meu compran pas ton istoire de savonnette a la faim... Sa m'etai destiné...???
Ah on m'en a dit que du bien de ce film pourtant (ceci dit l'avis de la majorité n'est pas forcément une référence absolue). Mais chuis contente que t'aies mis à jour :)
"....massacrer les chefs d’œuvres de la contre culture des 70’s ou des 80’s pour les forcer à rentrer dans leurs schémas idéologiques réactionnaires ou si c’est uniquement dans un but de rentabilité immédiate qu’on standardise des œuvres originales en savonnettes ?"vous en doutez encore??Hollywood ferait de la propagande...sans deconne...
Merci pour cette critique.
Hé bé je suis contente de lire cette critique avant de mater le film ... En tout cas merci d'avoir fait référence à Philip Glass et Koyaanisqatsi .... Tu m'as fais découvrir quelque chose de magnifique !
Mais que lis-je ?
Noooooooooon qu'on ne touche pas à Conan, pleeeeeeeease pas Conan !!!! C'est toute mon enfance bordel !
Déjà que le 2 il était très très limite ( enfin, restait Grace Jones tout de même ) ils vont en faire quoi s'ils y retouchent ?
en ce qui concerne Conan 3, le film se passe de main en main entre Robert Rodriguez (donc ça peut être pas mauvais mais faut quand même déjà se méfier) et l'un des autres tâcherons d'Hollywood, Brett "je-sais-pas-pourquoi-je-fais-ce-metier" Ratner.
et je parie déjà que, je vu la masse de gens qui ont adoré ce film (j'ai même entendu certains dire "je comprends pas qu'on puisse ne pas l'aimer") la foule se bouscule dans les commentaires pour t'insulter, junko, marseillais en tête!
Mais ils vont nous foutre qui à la place de Schwarzie ? Pas Vin Diesel ... Please...
non un schwarzy en image de synthèse à la beowulf
Un copain m'avais prévenus que c'était vraiment a chier comme film et en sortant de la salle j'ai directement pensé "tiens y aura certainement une critique sur le blog des films de merde, car ça le mérite"
ça ressemble pas a grand chose et c'est même chiant j'ai faillit dormir mais prévoyant comme il l'était l'exploitant de la salle n'avait pas mis le chauffage pour qu'on reste eveillé, merci a lui
et a toi aussi pour cette superbe critique
Héhéhé, je savais que ce film serait passé à la moulinette sur ton blog. Je l'ai même pressenti au bout du premier quart d'heure du film, c'est dire.
Par contre, ta chronique m'a donné envie de lire le bouquin, ce que le film m'aurait plutôt dissuadé de faire. Plutôt une bonne chose donc...
Critique très marrante comme d'habitude. Un regret pas un seul commentaire sur la taille de la bistouquette du Dr.Manatthan ! Je trouve qu'elle vas bien avec le coté fruste de "l'œuvre". Le Hibou a moins de bide, le spectre est plus bonne, et le docteur a une plus grosse bite.
Navrant
Et bien moi je ne suis pas completement d'accord avec cette critique.
L'aspect le plus interessant de ce fim, finalement, c'est les reactions qu'il suscite. 80% des gens ont deteste. Ce qui est rare pour ce genre de films. Mais ceux qui ont deteste se divisent en 2 groupes:
- Ceux qui s'attendaient a voir X-Men 4 et qui tombent sur unfilm qui leur semble incomprehensible avec a peine 10 mn d'action sur 2h40. C'est l'immense majorite du public.
- Ceux qui ont lu la BD et trouvent le film moins bien ou qu'il la trahit. C'est visiblement a cette derniere categorie qu'appartient l'auteur de la critique de ce site.
Moi, je n'avais jamais entendu parler de cette BD avant. Et je veux bien croire qu'elle soit largement superieur au film de Snyder. J'avais d'ailleurs personnellement deteste cette bouse de 300 alors que tout le monde semblait adorer.
Mais je me fous de la BD. On critique le film pour lui-meme pas par rapport avec l'oeuvre originale. C'est l'erreur classique des "fans" lorsque leur livre fetiche est adapte - ils se limitent a la comparaison avec le livre au lieu de voir le film pour lui-meme.
Et je l'affirme, ce film a plein de defauts (notamment dans les tics clipesques du realisateur) mais il reste tres bon et tres intelligent - que lintelligence soit celle de Moore ou de Snyder, je m'en tape.
D'ailleurs contrairement a ce qui est ecrit ici, il apparait tres clairement dans le film que les pseudo-super-heros sont des psychopathes dangereux, tous. Le plus cense d'entre eux, Rorsharch (?), est un malade mental violent et fasciste.
On voit clairement que la realite de 1985 dans laquelle ils existent est un cauchemard par rapport a la notre, que les super-heros en sont responsables, et que finalement on est bien mieux sans eux.
Haaaaaaaaa j'attendais cette critique avec impatience... J'étais sur qu'elle viendrai !
Sortant du film, j'ai été assez dérouté : j'ai vraiment aimé le fond tout en trouvant la forme putassière à souhait... Je me suis donc rué sur la comics pour opérer la comparaison et je réalise que ce bouquin n'aurai juste jamais du être adapté tellement il est puissant... et inadaptable !!!
Enfin merci quand même au film de m'avoir orienté sur le comics : Hollywood sert au moins à ça - lancer les incultes comme moi sur des chefs d'œuvres du passé connus que dans certains cercles autorisés. Mais ça coute cher à la fin, ticket de cinéma + comics !!!
Meuh !!
Une bien belle critique, très drôle et retournant magnifiquement les gros cordages de ce film... j'ai beaucoup ri quand tu as cité Roland Emmerich... les deux géants de la merde atomique doivent être mentionnés côte à côte!
Et puis, entièrement d'accord, cela ne sert à rien de dégommer inutilement un réalisateur: les Watchmen restent regardables vis-à-vis de 300...
Cependant, tu as oublié de mentionner la piètre qualité des effets spéciaux qui apparaissent ponctuellement, et qui assortissent la bouse d'un joli ridicule visuel. Docteur Manhattan mis à part, qui lui est plutôt réussi, j'ai été sidéré devant le côté bâclé de l'animation du vaisseau du Hibou, surtout visible lors de la scène de l'incendie où je me croyais devant une pauvre 3d des années 90 (la série "Reboot", ça te dit quelque chose?) mais surtout, on ne croit pas une seconde à la présence du fauve Bubastis, qui patine dans le vide avec son logiciel de fourrure minimal, genre "Loup-Garou de paris", la séquelle indigne du "Loup-Garou de Londres". Mention spéciale aussi au masque hideux et caoutchouteux du vieux Nixon... c'est inouï, ça! Quand on fait dans la merde hollywoodienne, on s'arrange au moins un minimum pour soigner les effets spéciaux! Parce qu'au fond, les spectateurs anesthésiés au pop-corn - beurre fondu n'attendent plus que ça...
Et puis merde, la culture Trivial Poursuit du film se retrouve aussi dans la musique redondante qui encombre la vision plutôt qu'elle ne l'aide. Je n'aime pas Philippe Glass, mais bon, je passe... Snyder est allé chercher Bob Dylan, Jimmy Hendrickx et Léonard Cohen pour faire vaguement rétro, et il est à côté de la plaque...
Un petit mot sur la séquence d'ouverture, j'aurais apprécié aussi... la présence dérangeante de la Silhouette, qui évince les autres Minutemen avec son costume en cuir et son look de bombasse complètement anachronique... A quoi ça sert, à part à se palucher en fantasmant sur des orgies lesbiennes? Si on ajoute cela à la prestation digne de la "Cage aux Folle" de sa caricature d'Ozymandias, on a de gros gros clichés homophobes, qui répondent aux clichés racistes de "300"...
"Par le réalisateur visionnaire de 300" ?
Bon.
Espérons qu'il n'a pas eu la même vision...
Hum, on m'en a dit que du bien, de ce film. Faut que je vois ça .. :)
J'adore regarder un film en sachant qu'il est adulé et haï à la fois ..
Remerciements.
Sous le soleil de Hollywood rien de nouveau: des adaptations faites par des scenars incultes et des reals publicitaires a temps plein.
Pourtant ils avaient un bon materiau de base: la BD est excellente (pour un comics americain). Et pour une fois que les super heros sont des loosers...
sorry Sir Toxic Avenger, Moore et gibbons les auteurs de la BD sont anglais...
Bon j'avous, j'ai pas lu ta critique en entier, je t'autorise à me jeter la pierre.
Bref, je trouve que tu te contredis un peu, au début de ton article, tu reproches à Snyder de faire un copié collé du film sans aucune recherche esthétique ou intellectuelle de quelques sorte que ce soit, pour ensuite lui sauter à la gorge en diséquant chaqe scène qu'il a modifié par rapport au bouquin.
Ensuite, j'ai l'impression que tu as la phobie de tout ce qui attrait au populaire, on dirait que tu vois du populaire partout! Walkyrie pendant une scène au viet nam? Soit, pas très original, et alors? Je n'ai pas le verbe aussi habile que le tiens, j'en convient aussi m'arreterais-je zici, surtout que j'ai pas lu la suite de ton article.
Sur ce, je vais te laisser l'innénarable joie de m'enterrer, moi et mon post ,ce que tu fais divinement bien.
Et bein évidemment, j'adore ce qe vous faites, sinon je ne viendrais pas sur ce blog^^
Bisous
salut
Merci pour cette critique,comme toujours excellente
Comme je constate que pas mal de gens n ont pas lu la BD,je me permets de vous signaler que la version francaise Panini actuellement disponible a une traduction vraiment poucrave a cote de l excellente traduction originale de Mr JP Manchette.
Helas,cette traduction originale,des editions Delcourt, etant difficilement trouvable actuellement,essayez de vous rabattre sur la VO...
Je plussoie pour l'adaptation française mauvaise de l'édition Panini. En plus l'impression est pourrie aussi (le trait fin et nerveux de Gibbons est tout bavouilleux).
Pas vu le film mais je ne doute pas un instant de sa médiocrité. Moore est vraiment pas gâté en adaptation ciné. Mais peut-être est-ce tout simplement l'oeuvre de Moore dans son entier qui est inadaptable?
LeuMarsaillet (29 Mars)
« Hollywood ferait de la propagande »
c'est à mon avis un peu plus complexe et un peu moins manichéen que ça, Verhoeven a réussit à faire un blockbuster subversif avec Starship Troopers, donc rien n'est impossible. Là, pour moi, c'est clairement Snyder à qui incombe la faute. 3 films, 3 films de droite dont 2 adaptations de classiques subversifs, ça me semble éloquent !
Divine Naive
Koyaanisqatsi est un des films qui a bercé mon adolescence, des heures passées devant ma vieille vhs... J'ai moins aimé les deux autres (Powaqatsi et Naqoyqatsi) mais Koyaa, vraiment, quel chef d'oeuvre. C'est d'ailleurs grâce à ce film que j'ai découvert Philip Glass, le monsieur qui a un peu refait le même morceau sur 160 albums (c'est pas un chiffre au hasard, c'est pas loin de la vérité)... Dès qu'un film utilise sa musique, je suis fan, comme pour Candyman, quel générique de début ! Même le jingle pub M6 avec tous ces M6 qui rentraient et sortaient par des portes avec la zik de Glass, j'étais fan uh uh
Mool
C'est pas un Conan 3, c'est un reboot. Quel dommage que ce gros faf de Milius ait pas pu faire sa trilogie. Je conseille vraiment à tous les fans le DVD du film, le commentaire audio est monstrueux ! Schwarzi qui se souvient plus du film et Milius en extase totale, 2h d'hallus hilarantes !
Crustybeckham
allons bon te voilà par ici toi ! Eh eh...
Oué, le livre, c'est vraiment quelque chose.
RedGe
« Le hibou a moins de bide, le spectre est plus bonne et le docteur a une plus grosse bite »
oué, en fait ça sert à rien de faire des pavés, t'as résumé tout ce qu'il y avait à dire en 2 lignes et demi.
(la suite demain)
"Le fait que ces personnages aient flirté avec l’extrême droite, qu’ils soient soutenus par la presse populiste et qu’ils soient détestés du peuple passe tranquillement à l’as."
Et si en plus, on ne situe pas le contexte (la guerre du viet Nam gagnée par Manhattan, les je sais pas combien de mandats de Nixon, qui donnent les clés pour comprendre l'importance de ces héros au coeur de la cité et du pays, ce mec a tout raté.
Je crois que seuls les gens qui se désintéressent, ou n'ont pas eu l'occasion, ou ne savent pas que la BD existe peuvent éventuellement, apprécier un film de ce type.
Je me réjouissais d'une adaptation (tout en la croyant impossible, ou alrs par Terri Giliam??) et rien que le format, laisse entendre que c'est raté...
Watchmen étant une oeuvre politique avant tout, ne pas laisser ce aspect transparaitre dans le film, ça doit décevoir.
Sans être à fortioti un fan, j'ai découvert la BD en 1989 (et en anglais) et j'avais été fasciné.
Du coup, quand mon beau fils qui le parle beaucoup de bd, est venu à noel il y a deux ans, je lui ai offert la BD. je lui demanderai si il a vu le film et ce qu'il en a pensé
Haaa ! il est de mise de taper très (trop) fort sur certains films pour exister...
Ce film est fantastiquement bien réalisé.
Il prend peu de libertés mais toujours pour la qualité de l'adaptation.
Le choix du casting est plutôt bien trouvé et l'ambiance du comics fidèle.
C'est surement la seule adaptation d'un bouquin de Moore que je trouve efficace.
C'est très français (ou très facile) de baver sur des détails plutôt que de prendre l'oeuvre dans son ensemble, de prendre le parti que c'est un mauvais film avant de faire sa critique et donc d'étayer son discours après avoir décidé de la valeur du film, et non de le voir puis de faire la part des choses entre ce qui est réussi et ce qui ne l'est pas ainsi que ce qui ne vaut pas la peine de s'y arrêter.
Il est aussi plus facile (ou français) d'être celui qui déteste car on est celui qui a un avis. On est grand. On assume sa pensée et on campe sur ses positions.
Celui qui aime lui, il est, soit celui qui a bon gout lorsque même les critiques (trop critiques ?) aiment aussi, soit le benêt qui a deux de Q.I car il ne voit pas les grosses erreurs mises en lumière par les moroses et les jamais contents.
Bref on n'existe pas en prenant de haut les milliers de spectateurs qui, eux, ont aimé (qu'ils sont cons...)
Au pire je veux bien être un benêt qui comprends rien au vrai cinéma car je suis bien plus souvent heureux que les aigris quand je sors d'une salle obscure.
PS: 300 est une fresque violente et primaire qui n'a pour autre but que de vous en foutre plein les yeux (et ça marche à merveille. Qu'il est fort ce vieux réac de Miller. Je l'inviterai pas à bouffer mais je prendrai bien des cours de dessin avec lui)
Bref c'est un bouquin avec plus de tripes que de cervelle, si vous voulez autre chose n'allez pas le voir au ciné par ce que:
si c'est bien adapté vous direz:" c'est primaire et grossier blablabla"
si il prend des libertés: "Oh! Mon dieu il a trahiiiiii !"
Ouais je dois être un vieux con...
Désolé.
Je peux revenir quand même ?
"Haaa ! il est de mise de taper très (trop) fort sur certains films pour exister..."
Huhuhu, oui en fait Junko n'existe que une, voir deux fois par mois, quand il est méchant sur son blog. Sinon non.
au final c'est toujours pareil, tu lis un bouquin une BD, un truc et tu te dis: wah putain ça claque!
5-10 ans plus tard t'apprends qu'on va te faire un film avec, et là genre tu te dis "wah putain ça va claquer"
et tu vas au cinéma
et alors
tu te dis que merde
tu t es fait enculer pendant deux heures, voir plus... Mais t y retournes quand même, des fois que l'adaptation suivante soit meilleure.
I am legend (putain quand même le pire exemple), Watchmen, Le Seigneur des Anneaux (le moins pire...peut être?), Hellboy, Wanted, et toutes ces merdes.... bordel ça commence à faire beaucoup.
ce sera quoi le prochain?
Les critiques comme les tiennes ne sont pas constructives, c’est ta vision du film, c’est selon toi, tu crache dessus au lieu de faire la part des choses, si on est un public intelligent, que ce soit pour les livres, les films ou autres, on va voir nous même, et on se fait sa propre opinion, on va pas gâcher son envie d’aller voir un film qui nous tente parce qu’il a été étiqueté de « navet » par des bloggeurs voulant étaler leurs connaissances cinématographique, en comparant les films, en les disséquant …
Si un film est fortement critiqué par une grande majorité, il y aura toujours la minorité qui aimera, c’est pas pour autant qu’on doit prouver de A à Z que c’est une daube, ça t’apporte quoi personnellement ?
Mrd vous vous prenez trop la tête avec les films, ça fait que critiquer.
Un film a pour but de vider temporairement la tête du spectateur !
Et si son trip c'est de critiquer des films qu'il a trouvé merdique?
C'est son choix, et il a le droit de l'exprimer. Vous allez me dire que vous aussi, pourtant vous critiquez ses ecrits comme il critique les films qu'il regarde...
C'est pas tres sain =D
"Un film est fait pour vider la tête du spectateur"
Tss tss, tu confonds avec le crack (ou TF1)
Et pourtant il s'agit là d'une sacrée bonne adaptation. Mais ce n'est pas donné à tout le monde de s'en rendre compte.
Rien d'autre à dire (aucune utilité).
Signé : un fan de la première heure (spéciale dédicace aux suiveurs/poseurs) d'Alan Moore.
>Jojo
Es tu sûr que 80% des gens aient détestés ? Quand je regarde les forums ou les critiques ici ou là, j'ai plutôt l'impression qu'il passe plutôt bien... Je vois pas trop de gens qui s'attendaient à du Xmen4, par contre ok, je vois des gens qui trouvent que le matériau de base a été trahis. Peut être les mêmes qui avaient pesté contre "l'adaptation" de Zombie...
Mais mon problème ce n'est pas d'adapter, je ne suis pas un "gardien" du temple, c'est la direction dans laquelle va cette adaptation qui m'énerve !
Après si tu vois tout ce que tu décris dans le film, chapeau, mais je crois que tu t'emportes un peu. Expliques moi en quoi le Spectre Soyeux ou le Hibou apparaissent comme des psychopathes dangereux !?
>Anonyme Simon
Salut j'ai pas lu ton commentaire en entier mais je crois bien que tu racontes n'importe quoi !
>Tonton Jojo
Je ne fantasme pas trop sur l'adaptation qu'en aurait fait Gilliam, on aurait eu un sommet de kitch mal rythmé sur 3h30 avec des nains et des ellipses en dessin animé... uh uh uh
>Stockman
Oui, ici pour exister il faut dire du mal d'un film, enfin surtout moi puisque je suis le rédacteur d'un blog dont c'est la finalité. Je relisais ton commentaire pour te répondre et je suis retombé sur ton post scriptum sur 300. Je ne m'étonne donc pas ton engouement pour ce film si tu trouves que 300 est une fresque violente et primaire et si tu te contentes "d'en prendre plein les yeux" (de quoi ? Tu nous le dis pas, parce que quand j'ai vu 300 moi j'ai aussi eu l'impression d'en prendre plein les yeux, par paquet si tu vois ce que je veux dire !)
Alors puisque tu es venu commenter ici et recevoir ta dose masochiste, oui tu es un peu benêt, oui t'es un peu con. Mais sinon tu es bien évidemment le bienvenu ici !
>Anonyme
"ce sera quoi le prochain?"
Fondation...
>Anonyme du 16 Avril à 16h34
Ah ah ah, merci pour cette brillante analyse et ce moment de détente.
>Anonyme du 18 Avril à 15h26
Mais tu te prends trop la tête avec ce blog, tu fais que le critiquer !
Après je crois que tu as oublié de re-remplir ta tête...
>Au "fan de la première heure" du 23 Avril
Ah ah ah... Tu te la pètes un peu toi non ?
"Et pourtant il s'agit là d'une sacrée bonne adaptation"... Je suis flatté que tu te poses comme le Galilée du comix face à l'inquisitorial blog des films de merde ! Il manquait l'avis de celui qui sait, de celui qui a lu Moore à l'époque, celui qui nous dit qu'il n'est pas un abrutis de neogeek qui a découvert Moore chez Panini ! Non, on a là un vrai, un pur. Quelle prétention de trou de balle... Surtout pour se déballonner comme une merde ("rien d'autre à dire", tu m'étonnes) quand on argumentes en marcel, on évite les effets de manche, banane !
bonjour,
vous avez une vision assez étroite et visiblement une rancune contre le réalisateur de watchmen mais moi j'ai adoré ce film! la bande annonce le déssert tellement!!! mais je crois qu'il a su mettre l'être humain en scène tel qu'il est réellement! la pire des créatures! ce film est l'un de mes préférés!
Bravo junko!
Continue la lutte!
Enfin quelqu'un qui a les couilles de nommer Snyder pour ce qu'il est:
UN GROS CON
junko, je vous aime.
stockman,tu m 'as endormi...mais bon la photo m'a fait rire...
Tout d'abord je tiens à te féliciter pour ta critique qui, il faut bien le reconnaître, est bien écrite.
Je me permets néanmoins de rappeler l'adage : "La critique est aisée mais l'art est difficile."
Donner son opinion personnelle sur un film est une bonne chose, la clamer comme vérité absolue en accablant de remarques faciles et futiles un réalisateur ou son public en est une autre.
Dire qu'un réalisateur est "un des réalisateurs les plus néfastes et les plus cons de sa génération" c'est un manque de respect non seulement vis à vis de lui, mais aussi vis à vis des millions de gens qui ont apprécié son travail.
J'imagine qu'il doit être bien plus excitant de critiquer un film qui a été aimé par la majorité des spectateurs et de la presse, cela permet de marquer une différence nette avec "la masse" que je suppose que tu considères comme des personnes incultes et bien sûr moins intelligente que toi.
Loin de moi l'idée d'être déplaisant mais il me semble qu'il y a des cinéphiles et/ou bédéphiles qui ont apprécié le travail qu'il a réalisé sur 300 et Watchmen, cela doit nécessairement faire d'eux des abrutis finis ?
Bref je ne pense pas qu'il soit nécessaire d'en dire beaucoup plus, je suis tombé sur ce blog par hasard et je ne le suivrai pas,j'aime les critiques constructives mais malheureusement pas les gens qui s'écoutent parler.
Bonne continuation tout de même.
"Dire qu'un réalisateur est "un des réalisateurs les plus néfastes et les plus cons de sa génération" c'est un manque de respect non seulement vis à vis de lui, mais aussi vis à vis des millions de gens qui ont apprécié son travail."
Il est de coutume de faire cela avec "à peu près tout le monde", chanteurs, politiques... Donc pourquoi les filmeux n'y auraient pas droit à leur tour ?
Fais-toi plaisir Junko !
(et quand tu te dédoubles, c'est comme en italien : ça fait junkies ?)
Chtiot
Anonyme du 26 mai revient: hahaha!
je t'imagine à déblatérer tes leçons de morale avec ta bouche en cul de poule, hahaha! T'es trop marrant, tu sais!
Quand un paquet de trou de balles comme toi arrêteront de déifier chaque réal qui sort un film tsoin-tsoin et que x critiques de bons goûts qualifient de génie pour tout et n'importe quoi, on aura besoin de junko pour remettre les sous-merdes du nombrilisme cinéphiliquo-bourgeoiso-pète couilles dans ton genre à leur vraie place: dans la fosse sceptique de l'humanité.
Haha, t'as mis le doigt sur plein de trucs qui m'avaient gêné dans cette adaptation.
Même si je ne le conchie pas entièrement (c'est sans doute le moins mauvais film de Snyder, ne serait-ce que grâce à la qualité du matériau de base).
Ma première réaction en apprenant qui réaliserait Watchmen, c'était "Non... pourquoi LUI?!". Je comparais ça à Hulk peignant de la porcelaine fine.
En sortant de la salle, ma première pensée a été "ce type n'a vraiment rien compris à Watchmen, même si je m'attendais à pire".
En résumé, Snyder, faudrait quand même lui casser les genoux. Non, il pourrait encore réaliser. Lui crever les yeux alors. Avec les mains coupées de Frank Miller.
salut
j'ai bien aimé moi v pour vendetta
il faut dire que je n'ai pas lu le comics
mais selon moi c'est pas une bouse cinématographique.
Si je suis plus que moins d'accord avec cette critique, je me dois de diverger sur un point : la fin.
S'il est indéniable que la menace extra-terrestre imaginée par Moore avait le grand mérite d'être visionnaire en prédisant que la peur du nucléaire serait remplacée par celle de la manipulation génétique, il faut admettre qu'il passe très rapidement là-dessus et que ce n'est pas très cohérent avec le reste du récit.
Surtout que, à long terme, c'est un plan un brin foireux que de réconcilier les peuples contre de faux martiens. Même en admettant que personne ne découvre la supercherie, ce qui est hautement improbable, le manque d'attaques futures finirait par émousser cette belle solidarité.
Or, je l'avoue, le seul moment où Snyder m'a impressionné, c'est justement lorsqu'il se permet de remanier l'histoire. Dans cet univers, le Dr. Manhattan est une menace connue, réelle, un dieu vivant, beaucoup moins abstraite et beaucoup plus durable que les bonshommes verts de l'espace.
Et ce qu'il y a de particulièrement génial, dans cette nouvelle fin, c'est le dualisme métaphysique qu'elle présente. Les hommes vivent désormais dans la crainte d'être surveillés par un dieu qui s'est désintéressé d'eux.
De là, Snyder renforce le personnage du Dr. Manhattan en posant un commentaire intéressant sur les religions et sur les croyances que Moore n'avait pas osé aborder.
En étant plus dangereux que les autres dieux, le Dr. Manhattan les supplante tous.
MARKI
Etonnament je ne suis absolument pas d'accord avec toi, et comme là je n'ai pas que ça à faire, je te colle une réaction d'un gars sur un forum par rapport à ce sujet. Je suis tout à fait en accord avec ce qu'il dit, je lui laisse donc la parole :
"La fin du Snyder évacue toute la complexité de celle de Moore, en nous donnant un truc crédible et facile à digérer : Ozymandias a réussi, les Watchmen ont échoué (mais ils font quand même les gros yeux avant de partir, faut pas exagérer non plus, oh!)
Quand à ceux qui trouvent la fin du film plus crédible, ils passent malheureusement à coté de l'essentiel : plus le mensonge est gros, plus les gens le goberont facilement.
Rorschach le dit lui-même quand il interroge le vilain à la retraite : "Histoire très peu crédible. A de grandes chances d'être vrai."
Et pour être plus terre-à-terre, mettons la fin du Snyder à l'épreuve : la menace commune est désormais le docteur Manhattan, qui menace de tout faire péter? Mais alors que va-t'il se passer quand deux ans après le docteur Manhattan ne se sera toujours pas manifesté à nouveau? Est-ce vraiment crédible qu'un être surpuissant, un véritable dieu qui veut notre perte, ne fasse rien?
Dans la BD les scientifiques découvrent que la créature s'est téléportée par hasard, et qu'elle a réagi comme une abeille qu'on menace. Ce n'est pas une attaque directe. Mais les médiums du monde entier ont eu des visions du monde Extra-terrestre, un monde horrible, effrayant. Certaines personnes vont cauchemarder pendant des années. Et désormais les humains vont construire des fantasmes, des théories toutes plus effrayantes les unes que les autres, qui dureront très longtemps justement parce qu'on ne peut rien vérifier.
C'est bien plus solide qu'une théorie "crédible". Parce qu'une théorie crédible a besoin d'être entretenue pour durer.
(ça n'empêche pas Moore d'introduire de l'incertitude quand à la solidité de sa paix artificielle. Et à la fin il nous confie le soin de décider de ça tout seuls.)"
C'est Elzecchio qui a écrit ça...
Pour moi, au delà de ça, évacuer l'histoire du poulpe était à mon avis, la seule solution pour Snyder. Ca évite de montrer un truc que d'aucun auraient trouvé too much sur grand écran (et qui passe à merveille sur papier) et ça permet d'éluder toutes les sous intrigues qui mènent au plan d'Ozy...
On peut tous imaginer la suite des choses à notre guise, et un débat portant sur la crédibilité d'une version par rapport à une autre ne peut qu'être stérile.
Toutefois, sans dénigrer le moindrement la fin écrite par Moore, que je reconnais sans problème comme porteuse de sens, je reste étonné par le guts de Snyder.
Il a su pousser la logique du personnage là où Moore n'a pas osé. La nouvelle fin est intrigante, et si elle va dans une toute autre direction, elle pose néanmoins des questions fort intéressantes.
En ce sens, Snyder a prouvé qu'il est meilleur pour réinterpréter une histoire que pour l'adapter.
Et comme je ne m'attendais qu'au pire de lui, j'ai la bonne foi de lui lever mon chapeau losqu'il marque un bon coup.
Et ce, sans tomber dans l'anti-américanisme primaire, contrairement à d'autres...
Whoua, comme je vous plains oO
Et quels sont les dix films préférés de l'auteur du "blog des films de merde?"
Je serais assez curieux de le savoir.
Mon pauvre clampin, tu peux me dire ce que ça peut te foutre ? La curiosité est un vilain défaut, ta mère te l'a jamais dit ?
et puis si tu prenais la peine de regarder un peu la colonne de gauche, tu trouverais probablement quelques pistes pour ta curiosité.
vue watchmen en dvd hier apres bien sure avoir longuement hesité ayant lue la BD au moins 4 fois depuis les années 90 .
je doit dire que je ne comprend absolument pas cet acharnement sur snyder . j'ai ADORE 300 . c'est simple c'est plan sur plan comme la BD . ca correspond vraiment a une vision onirique des spartiate et des thermopyle . oui c'est bourrin et alors ?
pour watchmen qui est autrement plus complexe a adapter que 300 . on pouvais vraiment avoir peur et snyder s'en tire admirablement bien j'en ai été soufflé, la modif a la fin est exellente ( faut dire que dans la BD l'espece de monstre tentaculaire est tres peu credible et meme pas exploité a ca juste valeur ). selon moi c'est un film necessaire qui va permettre comme la bd en son temps de renouveler le film de "super-hero".
vraiment une tres tres grosse claque ! loin des bouses comme dark knight par exemple
Fascinant, je suis totalement en désaccord avec toi, à la virgule prêt.
"oui c'est bourrin et alors ?"
N'importe quoi, personne n'a critiqué 300 parce que c'était bourrin, 300 c'est de la merde justement parce que c'est absolument pas bourrin ! Parce que les chorégraphies au ralentis, le sang numérique et l'emphase kitchissime de l'ensemble rendent le film complètement con et affreusement moche, mais bourrin, sûrement pas !
Cette technique qui consiste à défendre le film d'une critique (fictive) qui est en fait une qualité (supposée) est une bien piètre manoeuvre.
pas lu la critique de 300 . j'ai reagit juste pas rapport aux precedents post . de plus quand je dit bourrin ca veux dire "simple" aussi . visuelement j'ai trouvé ca fantastique (en bou-ray sur plasma ) de la BD en film . oui les tablette de chocolat ca fait gay et alors t'as deja vue des statue grec . non perso je concois bien que cette esthetique ne peu pas plaire moi j'ai adoré visuelement parlant . le coté primaire des dialogue aussi. c'est tout a fait spartiate ! bien sur tout fait faux mais ce film ne pretend pas etre un film historique . c'est la le truc . l'histoire des spartiate au défilé des thermopyle je la connais depuis que j'ai 7 ou 8 ans et c'est une histoire qui fait partie d'un myth collectif . pour moi le film est une vision totalement onirique ( révé et non reel ) . le partie pris graphique est ce qu'il est, moi je le trouve beau ,ksomptueux meme . les ralentis aussi . les scenes de combat generale dans les film sont souvent cafouilleuse ou on ne vois rien . là le temps s'arrete . la perception du temps est alors proche de ce qui se passe quand tu a une monté d'adrenaline ( le cerveau fonctionne plus vite et le temps semble ralentir ) . moi ca m'a emballer ,tout les defaut decrit sont justement des qualité.
franchement dire que graphiquement le fuilm est laid je ne comprend pas vraiment . certain plan sont comme des tableaux ( le messager avec le cheval qui se cabre , les gars dans le puits etc etc .. ). je ne sais pas moi ca me parle beaucoup plus que de tendre vers une realité a tout prix .
« de plus quand je dit bourrin ca » veux dire "simple" aussi .
…Oui, ou complètement crétin aussi tant que t’y es !
« visuelement j'ai trouvé ca fantastique »
Oui, m’enfin il suffit de voir les tshirts de loups avec des camions, les posters fait à l’aérographe représentant des couchers de soleils sur la plage avec un dauphin qui saute et d’autres horreurs pour savoir que le gout de chiotte est une tare très répandue.
« oui les tablette de chocolat ca fait gay et alors t'as deja vue des statue grec »
De quoi tu parles ? J’ai jamais dit que je trouvais 300 à chier parce que ça faisait « gay », tes remarques homophobes, tu te les colles au cul, merci.
« moi j'ai adoré visuelement parlant »
Oui je sais, tu l’as déjà dit, t’es fier de n’avoir aucun sens esthétique, je te conseille les peintures de venise qu’on trouve dans certaines pizzerias, tu devrais adorer !
« bien sur tout fait faux mais ce film ne pretend pas etre un film historique . »
Oui, et alors ? J’en ai rien à foutre qu’il soit historiquement juste ou pas…
« le partie pris graphique est ce qu'il est, moi je le trouve beau ,ksomptueux meme . les ralentis aussi . »
Oui oui j’ai compris, ça fait 3 fois que tu le dis…
« le cerveau fonctionne plus vite »
T’inquiètes pas, c’est juste une sensation, en vrai, je peux t’assurer que c’est l’inverse qui arrive !
« franchement dire que graphiquement le fuilm est laid je ne comprend pas vraiment . certain plan sont comme des tableaux ( le messager avec le cheval qui se cabre , les gars dans le puits etc etc .. ) »
Oué, j’imagine que tu dois prendre également ton pied devant le souffle épique et l’esthétique monstrueuse des pubs ricoré, tu dois être captivé par la sensualité envoutante des pubs carte noire. Quelle chance…
MDR c'est vrai que t'es rigolo dit donc !! ;-))
c'est quand meme marrant que tu sois obliger de critiquer mes gouts en generale lorsque je dit que j'aime quelque chose en particulier ! je ne critique pas tes gouts moi si je donne mon avis ? mais bon c'est certainement que tu detient la verité toi.
mais don't act tu m'as bien fait marrer là !
ah oui je sais t'en a rien a foutre de me faire marrer ...
non, ça n'est pas marrant, et je me sens obligé de rien.
c'est sure que de toute facon c'est bien plus facile de critiquer les gouts des autres que de defendre les siens.
mais en parcourant ton blog je viens juste de me rendre compte que ce ton péremptoire est un choix editorial.
A vrai dire je suis tombé sur ta chro de watchmen par hasard.
je ne crois pas au hasard
Je suis tombé sur ce blog un peu par hasard, et j'avoue que j'aime bien ta manière d'écrire, même si je ne partage pas tous tes points de vue.
En revanche je suis presque attristée de voir à quel niveau tu descends dès que quelqu'un critique ce que tu dis...
Comme si en sortant de la salle de cinéma tu planchais des heures pour pondre un belle critique bien écrite mais que tu étais incapable de spontaneité pour répondre à une posteur anonyme ...
C'est sur, c'est plus sympa de lire des "Je t'aime! Merci" tellement plus intelligent aussi ...
Oui, désolé que celà t'attriste, mais je n'ai pas de comptes à rendre dans mes commentaires.
Si les gens ont des choses intéressantes à dire, ils n'ont pas à craindre de se faire insulter, et je n'ai rien contre ouvrir un débat. Si c'est pour me dire que je suis con parce que je n'aime pas tel ou tel film, je n'ai que le mépris à proposer. Parcours un peu ces commentaires, la plupart du temps où j'envoie chier les gens, c'est bien parce qu'il n'y avait pas vraiment grand chose d'autre à dire...
Mais je peux me tromper... ce que je ne reconnaitrai bien sûr jamais !
Il est vrai que ta mauvaise foi affirmée est delectable à lire! J'imagine cependant que ce doit être pénible à affronter.
Je pense également que les gens n'ont pas à craindre d'être insultés, et puis s'ils ne veulent pas l'être, ils ne déposent pas de commentaires et ne subiront ainsi jamais ta colère dévastatrice.
Ce que je voulais dire, c'est que tu utilise parfois des raccourcis un peu faciles là ou une réponse n'est même pas necessaire.
En tout cas, je te remercie pour ce que j'ai lu! (en particulier une critique d'Ivan Moix sur je ne sais plus quel article)
"Ce que je voulais dire, c'est que tu utilise parfois des raccourcis un peu faciles là ou une réponse n'est même pas necessaire."
oui, je plaide coupable, disons que j'aime bien ça.
"Yvan Moix", tu veux pas plutôt parler de Yann Moix ? Mais je n'ai pas écrit de truc sur ses films, enfin pas encore, puisque CINEMAN est dans les probables prochaines notes... Mais j'en dit pas plus !
Perso, je veux pas entrer dans un débat. Je ne reviendrai d'ailleurs plus sur ce site...
Tu as apparemment de la culture et es suffisamment intelligent, je ne comprend pas pourquoi tu t'en sers à cet essiens ...
Je ferai juste un commentaire OBJECTIF, qui n'a pas besoin d'une réponse : Ta critique de l'oeuvre en elle-même n'a aucune consistance. L'intérêt de l'écrire alors ? A ceux qui t'approuvent de le trouver...
Mon gros, c'est pas très poli de poser des questions tout en annonçant qu'on a rien à foutre de la réponse.
Ta question, tu peux te la coller au cul, avec ton petit ton péremptoire de parvenu...
ouiais bof , ta critique est sympa sous certains aspects mais au final tu suintes la bienpensance débilitante .
Je cite :
"vu qu’il est pote avec des fachos comme Miller ou Milius "
O oui Facho bravo tu viens de faire mot compte triple .
Allez dodo le bobo
A oui et au sujet de 300 . Visiblement toi non plus tu n'as pas saisi la finesse qui se cache derrière le scénario avec tous les combats Surdimensionnés , les créatures etc..
Tout ceci à un rapport direct avec les textes anciens comme ceux d'hérotode et la façon dont il décrit les combats .
Tu te permets de tancer des films sans avoir la culture historique et classique pour le faire .
A bon entendeur
Ps : j'espère que tu n'oseras pas me censurer
>ouiais bof , ta critique est sympa sous certains aspects mais au final tu suintes la bienpensance débilitante .
Généralement les abrutis comme toi signent « anonyme », je suis surpris que tu revendiques tes déclarations…
>Je cite :
Oui, vas-y mon canard…
"vu qu’il est pote avec des fachos comme Miller ou Milius " O oui Facho bravo tu viens de faire mot compte triple .
Mon dieu, c’est ce ça qui te choque ? Qu’on dise de Milius que c’est un facho ? Lui qui se déclare comme un « fasciste zen » ? Holala ! Et puis j’ai dit que Miller c’était un facho parce qu’il a tenu des déclarations racistes et qu’il est complètement con, misère… Tu m’as l’air bien douillet sur cette histoire. Tu devrais être content plutôt que je reconnaisse que ces deux auteurs soient de ton bord politique non ?
>Allez dodo le bobo
C’est ça qui est mignon avec les abrutis de votre espèce, vos insultes sont tellement naives…
>A oui et au sujet de 300 . Visiblement toi non plus tu n'as pas saisi la finesse qui se cache derrière le scénario avec tous les combats Surdimensionnés , les créatures etc..
Il faut vraiment être un sacré numéro pour écrire « finesse » et « scénario » dans la même phrase lorsqu’on évoque le 300 de Snyder… Au lieu d’avoir un avis péremptoire (et contradictoire en plus) dans les commentaires de Watchmen et de 300, regroupe un peu tes idées et explique nous ce qu’il en est, j’en jubile d’avance…
>Tout ceci à un rapport direct avec les textes anciens comme ceux d'hérotode et la façon dont il décrit les combats .
Alors je t’ai déjà dit dans les commentaires de la note de 300 que c’était pas Hérotode mais Hérodote, c’était un petit peu méchant, vu qu’une faute de frappe est vite arrivée… Mais là, deux fois, c’est plus une faute de frappe… C’est un trou qu’on se creuse soi même…
Quand à la façon dont il décrit les combats, si ce monsieur Hérotode fait l’apologie des ralentis et des images photoshopées je m’incline. Mais tu m’expliqueras tout ça j’espère (par contre pour ta recherche google, je te conseille d’apprendre à orthographier correctement les auteurs que tu lis)
>Tu te permets de tancer des films sans avoir la culture historique et classique pour le faire .
D’abord tu m’expliqueras pourquoi faut il avoir lu les anciens grecs pour juger d’un film comme 300, ensuite je suis toute ouïe et j’attends ton analyse sur le sujet !
>A bon entendeur
Ps : j'espère que tu n'oseras pas me censurer
Non mais t’as pas compris que les idiots de ton espèce sont les épices indispensables de ce blog. Ce blog je le fais presque pour les tétârds de ton espèce. Mais sinon va pas croire que ce que tu racontes mériterait d’être censuré… Juste un bavage de petit faf vexé pas foutu de recopier un nom correctement, t’inquiètes, t’as pas la carrure…
Un grand bravo à toi Stockman pour ton analyse à mon avis très juste et à laquelle j'adhère parfaitement.
J'avoue je n'ai pas lu la critique en entier car franchement ce n'est pas vraiment digne d'un grand intérêt que de lire de la rencoeur sur 20 lignes (je lis Cyoran pour ça car c'est bien foutu) ce n'est d'ailleurs pas une critique cinématographique pour moi mais juste un défouloir sur le net (comme trop de blog).
PS: Je suis 4 fois plus con que les autres j'ai les 2 bd, watchmen et 300 et j'ai aussi les 2 Blue Ray car j'ai adoré et le pire c'est que je le revendique.
Va te faire foutre toi et tes blue rays de merde...
ah, aussi, la prochaine fois que tu voudras faire le malin en faisant croire que t'as lu un livre, souviens toi au moins de l'orthographe de l'auteur.
Cioran, c'est avec un "I", banane, loser, pauvre merde.
Rorshach m'a bien plu, mais n'ayant jamais lu le livre, je ne peux pas me faire une idée sur ce qui est bâclé ou non.
Je pense que les adaptations ne doivent pas être si mal vues, le but est de faire quelque chose de personnel, sinon à quoi bon, autant en rester aux créations premières.
Mais sujet adaptation, je ne suis pas encore tombé sur les horreurs de Uwe Boll et Anderson sur ce blog, les deux affreux qui massacrent les jeux vidéo et pour cause de leur manque de culture vidéo-ludique, donne une mauvaise image de ladite culture qui est bien sûr bien plus complexe.
Celui qui me semble à peu près respectable reste Silent Hill (mais là, pas de Boll, ni de Anderson) Étonnamment, j'étais tombé sur un film dont certaines scènes, décors, couleurs, étaient bien plus proches de Silent hill le jeu que cette adaptation (le pas assez connu Dark corners) Mais pour ce Silent hill, il m'a sûrement semblé pas mal car Jodelle Ferland est une très bonne artiste pour son âge, ça change des mecs et nanas de 30-40 ballets qui jouent les bimbos connes au point de vouloir faire un sandwich avec leurs têtes, et c'est malheureusement légion.
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